Alain Avello, secrétaire général du Collectif Racine : « discours de la manufacture »

Alain Avello, secrétaire général du Collectif Racine : « discours de la manufacture »

Alain Avello, secrétaire général du Collectif Racine, intervenait ce 14 février 2014, à l’occasion du Grand meeting de campagne « Nantes Bleu Marine » qui se tenait à la Manufacture des tabacs, à Nantes.

Voici le texte de son allocution :

Cher Nicolas Bay,
Chère Maguy,
Cher Christian,
Chers colistiers « Nantes Bleu Marine »,
Chers amis,

Nous sommes le peuple !
Nous sommes la France !

Le Front National et le Rassemblement Bleu Marine sont dorénavant les seuls mouvements politiques qui ressentent le peuple français,
et en lesquels le peuple français se ressent, se retrouve, se rassemble et continuera, toujours plus nombreux, de se rassembler !
Car, nous sommes le peuple, donc,
le peuple dans sa pluralité, autant que dans son unité,
dans la pluralité de nos histoires personnelles et la pluralité de nos origines,
dans la pluralité des générations et des conditions sociales,
dans la pluralité de nos provenances et de nos sensibilités idéologiques aussi,
mais, tout aussi bien et surtout, nous sommes le peuple rassemblé dans cette unité qui doit être celle d’un corps social constitué en Nation !
Cette Nation, la France, qui est notre bien commun, notre passé autant que notre avenir et notre fierté, et qui donne tout son sens à notre engagement !

Et cette unité, nous devons la porter au plus haut point d’exigence et la défendre de toutes nos forces, car oui, nous l’affirmons, « Unis, les Français sont invincibles ! »

*

Notre conception de la Nation n’est pas celle d’une nation recroquevillée, fermée sur elle-même, tant nous savons qu’à ce compte les nations sont en sursis, s’exposent au déclin, et tendent vers la mort.
Notre conception de la Nation n’est pas non plus celle, typiquement anglo-saxonne, des communautés et de la « diversité », où les quotas ethniques et la « discrimination positive » sont la négation même de l’égalité.

Il y a en effet deux contre-modèles de société, l’un comme l’autre également contraires à l’esprit français et à l’histoire de notre pays :
– celui, d’une part, d’une société exclusive, fermée, qui fait le choix frileux et passéiste du repli identitaire,
– d’autre part, celui de cette « société inclusive », pour reprendre l’inquiétante formule du récent rapport Tuot, qui, assumant de renoncer à l’exigence d’assimilation, demande d’accepter voire de renforcer, sous prétexte de diversité, les communautarismes qui menacent et rompent l’unité nationale.

Les Français d’ailleurs ne s’y trompent pas, eux qui se disaient, dans un récent sondage BVA, aux deux-tiers opposés à la « discrimination positive », et aux trois quarts affirmaient que ce n’était pas à la société, mais bien aux personnes étrangères elles-mêmes qu’il appartient de réunir les conditions de leur intégration.

Car la conception française de la Nation, celle qu’au Front National et au Rassemblement Bleu Marine, nous portons, est fondée sur le principe et l’exigence d’assimilation !
C’est cette conception d’une Nation indéfectiblement attachée à ses valeurs, forgées tout au long de sa glorieuse histoire, mais qui reconnaît aussi que la nationalité, si elle s’hérite, peut et doit aussi se mériter,
Que l’on peut devenir français pour autant qu’on en ait la volonté ferme, qu’on s’approprie ce glorieux passé, qu’on se reconnaisse dans les valeurs nationales,
Qu’en contrepartie de l’honneur de devenir français, on s’efforce de le devenir pleinement, jusqu’à reléguer dans la sphère privée les singularités qu’on conserve de ses origines,
En un mot qu’on s’assimile ― et nous sommes les seuls, au Front National et au Rassemblement Bleu Marine, à maintenir encore et toujours cette exigence d’assimilation qui a fait la France, nous sommes les seuls à parler encore d’ « assimilation »,
les élites euromondialisées, elles, ont au contraire proscrit ce terme de leur vocabulaire, du même mouvement qu’elles acceptent la communautarisation croissante de la société française, du même mouvement qu’elles encouragent le processus de dislocation de l’unité nationale.

Or comment s’est faite la France, notre patrie ? Sinon par unification et uniformisation, notamment linguistique, de populations diverses qui, sous l’égide de l’Etat, celui des Rois de France, d’abord, de l’Empire et de la République ensuite qui, au fond poursuivirent et perpétuèrent l’œuvre de l’Ancien Régime, ont fait de la France une Nation ?
Comment la France s’est faite, sinon en requérant que la pluralité de ses composantes fasse allégeance aux valeurs universelles qu’elle porte, de sorte à devenir un peuple uni et fier de son unité, autant que de cette histoire commune en laquelle il a appris à se reconnaître ?

Alors si, au Front National et au Rassemblement Bleu Marine, nous sommes le peuple et, tout autant, la France, c’est parce qu’en nos rangs comme en nos listes électorales se marque cette pluralité d’origines,
qu’en nos rangs et nos listes se rencontrent ces nombreux cas d’assimilation effective et réussie, cette assimilation rendant pleinement patriote et renforçant l’unité de la Nation, l’unité du peuple français.

Et je sais qu’il y a là, chez ces Français issus de l’immigration qui s’engagent et militent en nos rangs, des réserves inaltérables de patriotisme,
ce patriotisme qui, en revanche, a totalement déserté les rangs et les consciences de ces enfants de bourgeois, que d’aucuns qualifieraient pourtant comme étant « de souche », et qui ont à ce point entendu les sirènes du mondialisme qu’ils n’ont de cesse, à Sciences po’ ou ailleurs, de renier la France qu’ils n’aspirent d’ailleurs qu’à quitter !

Je pense donc ici à tel ou tel de nos camarades ou candidats, issus de l’immigration, maghrébine, notamment, qui furent éduqués dans la reconnaissance envers la France, de la France qui a su accueillir leurs parents et leur transmettre ses valeurs, au point de les rendre pleinement patriotes, pleinement amoureux de la France. Et je pense tout particulièrement à Nejma, notre 6e de liste, dont c’est là, à l’instar de beaucoup d’autres, l’histoire personnelle.
Je pense aussi à l’une des premières rencontres que j’ai faite, à l’occasion de mon entrée dans la fédération de Loire-Atlantique, la rencontre de quelqu’un dont l’origine italienne se marquait dans le patronyme et qui me dit sa fierté d’être un Français patriote issu de l’immigration. Il allait devenir l’un de nos candidats aux élections suivantes, et j’espère bien qu’il retrouvera prochainement parmi nous toute la place qui lui revient !
Je pense encore, s’il m’est permis, à ma propre origine, moi dont le père dut, à sa majorité, choisir entre deux nationalités, l’espagnole et la française, et décida de devenir pleinement français, car l’amour de façon générale est exclusif, et c’est d’autant plus vrai pour l’amour de la Patrie !

Alors oui, vraiment, nous sommes le peuple, dans la pluralité de ses composantes ! nous sommes la France !

*

Mais si nous sommes le peuple, si nous sommes la France, c’est encore et aussi parce que nous réunissons le peuple dans la pluralité de ses composantes sociales.
Le Front National est aujourd’hui le premier parti, chez les ouvriers, les employés, les fonctionnaires, les jeunes,
Toutes ces catégories auxquelles le système UMPS et ses affidés ont consciencieusement tourné le dos,
Cette France populaire, cette France d’en bas qui a été sacrifiée sur l’autel du mondialisme et de l’européisme.

L’entrée dans l’Euro s’est traduite par la destruction directe de 700 000 emplois industriels, cette monnaie aberrante, conçue sur le modèle du Deutsch Mark, et dont seule l’Allemagne tire vraiment bénéfice, cette monnaie délétère qui a rendu la vie chère et a engendré toujours plus de misère sociale, cette monnaie dont le seul bon sens suffit à saisir que, non seulement elle n’est pas viable, mais qu’elle est une machine infernale à broyer les économies nationales et, donc, les peuples,
l’UMPS n’a, face à cette monnaie, qu’une seule obsession : il faut sauver l’Euro à tous prix !
Il faut sauver l’Euro, fût-ce au prix de toujours plus d’austérité, c’est-à-dire, pour les peuples, de toujours plus de misère sociale.
Le programme UMPS, car l’UMP et le PS ont bel et bien le même programme, comme ils sont asservis aux même maîtres, ce programme se résume alors en un mot : c’est l’eurostérité !
Cette eurostérité qui ne réserve aux peuples d’Europe qu’un seul avenir, celui qui est d’ores et déjà le présent du peuple grec, qui est aussi celui du peuple espagnol, italien ou portugais.
Voilà l’avenir que l’UMPS promet au peuple français, et plus spécifiquement à ses catégories les plus populaires ! Mais il faut donc « sauver l’Euro », pour mieux s’assurer encore que tel est l’avenir qui leur est réservé…

Cette trahison du peuple par ses élites, l’oligarchie euromondialiste qu’est la caste UMPS ne peut la perpétrer qu’en cherchant à abaisser le niveau de conscience populaire relativement aux causes de la situation concrète que connaît une part croissante de la population.
Alors la caste politico-médiatique ne cesse de mettre en œuvre des stratagèmes de diversion et d’enfumage visant à détourner l’attention des problèmes de fond : on parle pendant des semaines et des mois du « mariage homosexuel », de Leonarda ou d’un humoriste, afin de tenter de dissimuler le naufrage dans lequel l’Euro conduit notre économie et le naufrage social qui en découle !
Alors, la caste politico-médiatique s’ingénie-t-elle à écrire ces scénarios catastrophes qui sont autant de fables au sujet de ce qu’entraînerait la sortie, pourtant inéluctable, de l’Euro. Elle prétend de la sorte rendre inaudibles les voix de tous ces éminents économistes qui sont de plus en plus nombreux à prévoir l’effondrement de la monnaie unique, voire à préconiser qu’on l’anticipe !
Alors, autre stratégie de diversion, la caste politico-médiatique, n’a-t-elle de cesse de maintenir en survie artificielle le vieux clivage gauche-droite, aujourd’hui totalement périmé pourtant.
Le but étant bien sûr de maintenir artificiellement en vie ce système politique pseudo-démocratique, qui est en réalité devenu de nature oligarchique,
le but étant de faire accroire que gauche et droite s’opposent, de sorte à maintenir les électeurs dans l’illusion de l’alternance — un coup la gauche, un coup la droite, alors que c’est toujours et inéluctablement la victoire du pareil sur le même et du même sur le pareil —,
le but étant de stériliser le vote des Français, puisque gauche et droite ne sont jamais, pour reprendre les mots de l’authentique patriote qu’était Philippe Seguin, que « les détaillants du même grossiste : l’Union Européenne ».

Voilà l’UMPS ! voilà l’œuvre commune de l’UMP et du PS !

Mais jetons donc un œil sur ces municipales :
Ici, à Nantes, ce sont Laurence Garnier et Johanna Rolland : bobo de droite, bobo de gauche…
A Paris, leurs homologues : Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet : bobo de gauche, bobo de droite !
Garnier et Kosciusko-Morizet : voilà les candidates de Jean-François Copé !
Rolland et Hidalgo : ce sont les candidates d’Harlem Désir et de François Hollande !

Voilà l’UMPS ! voilà la caste, les représentantes de l’oligarchie euromondialiste !
Ces candidates ne sont certes pas les candidates du peuple, puisqu’elles appartiennent à ces formations politiques qui, consciencieusement, lui ont tourné le dos et ne cessent de tramer contre ses intérêts.
Tout au plus leur arrive-t-il de percevoir la nécessité électoraliste de flatter le peuple, alors elles essayent de « faire peuple »…
Et tout n’est que mépris !
On revoit par exemple Kosciusko-Morizet se faire photographier en train de fumer une cigarette avec des SDF, ces laissés pour compte de la barbarie mondialiste qui ont de surcroît le tort d’être français, ce qui leur interdit de profiter des aides sociales, dont les étrangers, eux, bénéficient…
Tout n’est là que marketing électoral, qu’imposture, et sans qu’il soit besoin, en l’occurrence, de faire usage de Photoshop.
On ajoute simplement le mépris du peuple à sa trahison !
Et le peuple ne s’y trompe pas qui de plus en plus nombreux se rassemble autour de nous !

Le Front National, lui, je le rappelais, est aujourd’hui le premier parti chez les classes populaires, les jeunes, les fonctionnaires, au point de rassembler la société française dans la pluralité de ses composantes.
Et notre liste « Nantes Bleu Marine » qui rassemble, donc, toutes les composantes sociales et de nombreuses professions, est à cet égard emblématique :
largement ouverte aux classes populaires ― s’y rencontrent nombre d’employés, par exemple ―, elle l’est tout autant aux jeunes qui figurent en bonne place, tel le talentueux Arnaud de Rigné.
Elle est aussi une liste comprenant des fonctionnaires et, notamment, des enseignants en tête de liste, ce que vous me permettrez de souligner, puisque j’en suis, et qu’il y a là quelque chose de parfaitement emblématique des évolutions qui caractérisent aujourd’hui notre formation politique, laquelle rassemble donc le peuple français dans la pluralité de ses composantes.

J’interviens devant vous ce soir au titre, notamment, de dirigeant national du Collectif Racine, dont je voudrais dire quelques mots.
Il y eut sans doute longtemps un malentendu entre le Front National et ce milieu professionnel auquel j’appartiens, malentendu que Marine Le Pen s’est employée, dès septembre 2011, à dissiper.
Et, de fait, des enseignants de plus en plus nombreux se sont mis à rejoindre le Front National et le Rassemblement Bleu Marine.
Alors, nous avons lancé, en octobre dernier, avec Marine et Florian Philippot, le Collectif Racine, cette association regroupant les enseignants patriotes, composante du Rassemblement Bleu Marine :
A la suite de la publication dans un grand quotidien national de notre « Appel pour le redressement de l’Ecole », à la suite de notre conférence de lancement, nous avons accédé à une visibilité médiatique totale, si bien que l’opinion a dû prendre acte de ce qu’il fallait à présent compter avec des « enseignants bleu marine » !
Et, de plus en plus nombreux, les enseignants nous rejoignent, car en ce milieu aussi, et même s’il demeure un bastion de la gauche libérale-libertaire, il y a des réserves de patriotisme !

L’objectif du Collectif Racine est double :
il s’agit, d’une part, de favoriser la pénétration des idées patriotes dans le milieu enseignant en signifiant à tous les enseignants de France, via les médias, notre structure internet, les actions que nous menons… qu’un certain nombre de leurs collègues produit des analyses sérieuses du système scolaire comme de ses dysfonctionnements, et s’emploie à frayer les voies de son redressement ;
il s’agit, d’autre part, de nous constituer, sur la base de ces travaux, en véritable force de proposition dans la perspective de l’élection présidentielle de 2017, élection qui, nous l’espérons ardemment, portera au pouvoir Marine Le Pen dont la volonté politique sans faille permettra la mise en œuvre effective du redressement de l’Ecole que nous appelons de nos vœux.
Si notre démarche, nos propositions et nos actions vous intéressent, je vous invite à prendre le tract du « Collectif Racine » que vous trouverez à l’entrée de la salle.

Ainsi le Rassemblement Bleu Marine rassemble désormais aussi de nombreux enseignants !

Alors oui, décidément, nous sommes le peuple, dans la pluralité de ses composantes sociales ! Nous sommes la France !

*

Nous sommes enfin le peuple, comme nous sommes la France, car toute notre œuvre et tout le sens de notre engagement est de réaliser l’union de tous les patriotes !
Je le soulignais : le vieux clivage droite-gauche, outre qu’il est désormais absolument dépassé, n’est maintenu, par la caste, en survie artificielle que pour perpétuer l’illusion du « changement » par l’alternance, lors même qu’un coup la gauche, un coup la droite, ce n’est jamais que la victoire du pareil sur le même, qui permet au système de perdurer et conduit le peuple, lui, à toujours perdre !
A la faveur des votes les plus décisifs, et je pense ici, tout particulièrement, au référendum de 1992 sur le traité de Maastricht, ou à cet autre référendum, confisqué par l’oligarchie à la volonté du peuple français, insupportable déni de démocratie, le référendum de 2005, sur le « Traité Constitutionnel Européen », nous assistons à une recomposition parfaitement claire des clivages.

La véritable ligne de fracture politique, comme le révèlent ces votes portant sur les questions cruciales ― l’UE, l’Euro, l’abandon de notre souveraineté ― est à présent celle opposant les européistes et mondialistes qui ont non seulement perdu toute foi en la France, mais ne cessent de la trahir, de la bafouer,
et les patriotes que nous sommes, qui sommes amoureux de la France, et qui ne doutons pas un instant de son avenir !
Que l’immense majorité du peuple, près des trois quarts, selon une étude récente du CEVIPOF ne porte plus aucun crédit au clivage droite-gauche constitue donc un signal extrêmement encourageant pour l’avenir.
Et, de fait, nous assistons, par-delà la gauche et la droite, au rassemblement des patriotes !
De ce rassemblement, je puis d’autant mieux parler que ma propre provenance politique est la gauche, moi qui fus un soutien de la candidature de Jean-Pierre Chevènement à l’élection présidentielle de 2002.
Chevènement avait alors cherché à réaliser, contre la caste au pouvoir inféodée à l’Union Européenne et à la monnaie unique, l’union des « Républicains des deux rives », comme il disait alors.
Sans doute, et même si la voie était la bonne, sans doute n’était-ce pas encore l’heure pour qu’un tel rassemblement se produise avec une ampleur suffisante, sans doute l’heure n’était-elle pas encore suffisamment troublée, sans doute, surtout, Chevènement, malgré la direction qu’il traçait, n’était-il pas lui-même prêt à révoquer le clivage, ce que la suite a tristement révélé.

Là où Chevènement autrefois échoua, Marine le Pen aujourd’hui réussit !

Nous nous situons ainsi, aujourd’hui, à cette hauteur de vue et d’engagement où le clivage gauche-droite ne peut plus qu’être récusé, car, par-delà la gauche et la droite, il y a la France, notre patrie, ses intérêts supérieurs et l’inaliénable souveraineté de son peuple !
Nous sommes indéfectiblement attachés à la République, forme politique moderne de la France, dans laquelle s’est perpétuée cette glorieuse histoire qui, de Clovis à de Gaulle, a fait sa grandeur.
Nous défendons inconditionnellement le modèle français de l’Etat-nation, notre tradition autant que notre avenir !
Et, en tout ceci, décidément, nous sommes le peuple, et nous sommes la France !
Et, nous le croyons de toutes nos forces, l’heure des patriotes est venue et, avec elle, l’heure du réveil français !

Alors, à l’occasion de ces élections municipales, ce seront des centaines de conseillers Front National et Rassemblement Bleu Marine qui seront élus,
En mai prochain, les élections européennes feront probablement du Front National le premier parti de France,
Ces succès, ces triomphes électoraux, auront pour effet de faire entrer en turbulence le système électoraliste, jusque là verrouillé par l’UMPS, cela sonnera le glas du bipartisme, cela révèlera le discrédit généralisé qui pèse sur la caste euromondialiste !
Et le président de la République aura-t-il d’ailleurs d’autre choix, selon l’esprit de nos institutions, que de revenir au peuple, en dissolvant l’Assemblée ?
Alors, oui, débutera pour nous qui sommes le peuple, qui sommes la France, l’heure de la responsabilité en acte !
Je vous remercie, chers amis, de votre attention.

+++Tract_meeting-14-2-14

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